C’est avec cette petite phrase joliement trouvée par la fondation Louis Vuitton que je vous propose une minute d’observation dans mon petit musée virtuel. Je suis sensible à différents mouvements artistiques avec un petit penchant pour l’impressionnisme, le surréalisme, le cubisme, le fauvisme, l’art abstrait…. En fait, j’aime tous ces mouvements car ils ont apporté à l’histoire quelque chose de neuf qui a inspiré les générations qui ont suivies. Sonia Delauney fait figure de pionnière dans l’abstraction. Je vous ai sélectionné trois tableaux que j’aime particulièrement. Prenez une petite minute de votre temps à observer le second. Je le trouve à la fois reposant (tout en rondeurs) et énergique (avec ces lignes et ce jeu de couleurs). Ca me fait aussi penser à une explosion de Vinyles jetés en pagaille ! Assez de sentiments qui méritent de le découvrir en vrai !! Je vais essayer de filer voir l’expo si je trouve le temps, mais c’est pas gagné ! Ce jeudi c’est nocturne jusque 22h si le coeur vous en dit, et c’est au Musée d’Art Moderne de Paris jusqu’au 22 février 2015. Bonne reprise à toutes et tous !
Aesthetic landscape
Aujourd’hui, je ne mets pas à l’honneur mes reportages photos. Et pourtant ça se bouscule dans mes dossiers ! Je vous parlerai entre autre de ma collaboration avec Accor, de mon week-end au Mont Royal avec sa vue incroyable sur l’océan vert … à 1h de Paris et puis, bien sûr, la suite de mon grand reportage à l’île Maurice pour conclure mon chapitre Océan Indien.
Et puis viendra le temps de fêter les 4 ans du blog. Déjà ? Oui, déjà. On ne voit jamais le temps passer quand on passe du bon temps ensemble. :) Je suis très heureuse d’avoir inventé un nouveau genre, qui m’est personnel. D’avoir porté la notion de voyage dans l’univers poétique et glamour qui me ressemble. Avec des milliers de visiteurs et des centaines de milliers de pages vues chaque mois. Je savoure ma chance et vous donne rendez vous très vite pour la suite des aventures !
Aujourd’hui place à « Dunes » l’oeuvre de Françoise Gaujour.
Une reporter qui réalise de nombreux voyages partout dans le monde. C’est au Mali, en 2004, que son inspiration artistique et son envie de « préserver les belles images de la vie » est née. Durant ce voyage, Françoise Gaujour capte dans ces photographies des paysages exotiques, des portraits, des témoignages de coutumes de ce pays qui évoquent en elle des souvenirs de son enfance au Sénégal. Puis, la photographe réalise ses premières oeuvres durant un voyage d’hiver en Islande. Empreinte du photo-reportage, elle saisie tel un documentaire, des portraits et des paysages minéraux. Basée sur le ressenti et l’émotion, l’artiste développe une approche instinctive de la photographie. Elle s’inscrit dans une démarche qui dépasse le photo-reportage par une volonté de sublimer l’instant capté. Tel un documentaire idéalisé, l’utopie d’un moment, l’artiste s’attarde et se focalise sur un sujet précis, mais propose une vision nouvelle, chargée en poésie.
Exposition « SILHOUETTES «
Vernissage le jeudi 7 novembre
Chez GALRY
Du mardi au vendredi de 14h à 19h
le samedi de 11h à 19h
et sur rendez-vous
41 rue de Verneuil, 75007, Paris.
01 42 86 92 14 – contact@galrystore.com
Bonheur
D’un nouveau départ, d’une peau douce comme la soie, d’un beau bouquet fleuri qui rappelle le printemps quand il fait froid dehors. C’est un peu tout ça que j’ai envie de vous inspirer cette semaine. Quand l’automne arrive, on a deux alternatives. Faire un break là où il fait beau pour recharger ses batteries. Ou s’organiser pour créer des petits moments de bonheur quand les journées raccourcissent. Et qu’il fait définitivement très froid à Paris. A chacunes ses petits rituels. Ses envies beauté. Mais s’il y a bien un problème saisonnier qu’on appréhende toutes c’est bien la sensation de peau qui tiraille avec le froid. Alors bien sûr, on s’arme de crèmes pour le corps ou d’une bonne huile sèche. Mais honnêtement, je ne sais pas vous mais moi le principe d’attendre quelques minutes que ça pénètre bien sachant qu’il me reste montre en main 15 minutes pour me sécher les cheveux, me préparer… Ce n’est vraiment pas adapté. Du coup je fais souvent l’impasse… C’est là que j’en viens à son sujet, à savoir le nouveau concept de lait corps qu’on applique juste après le gel douche. Et sous la douche ! J’ai pu le tester la semaine dernière pour vous livrer mon avis. Je n’avais jamais vu « ce concept » même pas aux Etats-Unis. Second test donc, après celui de la brume solaire « Protect and Refresh » de Nivea Sun. Je prolonge mon partenariat avec la marque Nivea pour partager avec vous mon expérience personnelle du produit.
MON AVIS SUR LE LAIT CORPS SOUS LA DOUCHE DE NIVEA
Le concept
Le lait corps sous la douche peut être déroutant avec sa silhouette de gel douche.
Il ne faut pourtant pas s’y tromper, il ne s’agit pas d’un deux en un. Mais bien d’un lait qu’on applique après s’être lavé en gardant la peau humide pour favoriser la pénétration du lait.
Le résultat
Pendant une semaine j’ai fait le test sur une jambe pour constater la différence et l’évolution du point de vue de l’hydratation et donc de la douceur. La peau est effectivement plus douce. Les agents hydratant font bien leurs jobs.
Le seul point qui m’a un peu dérouté, c’est au niveau de l’application. Le premier jour j’en ai beaucoup trop mis ce qui créait une texture de matière pas tip top lors du séchage. Le lendemain avec la main plus légère c’était parfait ! Super rapide, l’eau diffuse bien le produit le long de jambes. Je suis vraiment contente d’avoir pu tester ce nouveau concept qui, j’en suis convaincue, va changer notre routine hivernale quand on est pressé par le temps.
Le produit est disponible dans nos petits monop’, je l’ai aperçu hier en faisant quelques courses. Son prix est autour de 5 euros, le prix moyen des crèmes riches pour le corps. Cette nouveauté vous donne-t-elle envie de la tester ? Je suis un peu curieuse mais j’aimerai bien savoir quelles seraient vos alliés douceur de cet hiver ? A très vite pour de nouvelles aventures !
Plus d’infos sur le lait pour le corps de Nivea.
Article en partenariat avec la marque
L’incroyable fondation Barnes à Philadelphie
Fabuleuse. Enthousiasmante. Vertigineuse. La fondation Barnes est incontestablement le musée de tous les superlatifs. Son nom nous évoque tous quelque chose. Mais c’est sans savoir vraiment ce que cette collection d’art privée représente. Crée en 1922, la fondation Barnes est aujourd’hui considérée comme l’une des plus incroyables collections de la période post impressionniste jusqu’aux prémices de l’art moderne. Pour la petite histoire, Mr Barnes est un entrepreneur pharmaceutique qui s’était donné pour objectif de favoriser l’éducation et l’enseignement des arts. Pari réussi !
93 000 m2 – 181 Renoir – 69 Cézannes, 59 Matisses et 46 Picasso
http://www.barnesfoundation.org/
Paris : Cerruti s’habille de lumière pour invoquer l’arrivée du printemps !
Lorsqu’une des maisons de l’industrie du Luxe est en travaux. Elle ne le cache pas, non.
Elle le fait savoir. Elle en joue. A la lisière entre œuvre d’art et cache-cache urbain.
Les devantures se donnent à voir, jouant ainsi au jeu du chat et de la souris.
Je me souviens notamment de la subtile devanture de Vuiton qui était alors en travaux.
Celle-ci reprenait le célèbre bagage de la marque pour cacher ses échafaudages.
crédit photo Bloc Photo 2007
Ce midi, la maison Cerruti vient de lever le voile sur sa devanture au graphisme trompe l’oeil.
Aussi lumineuse, qu’une invocation au Printemps.
Profitant ainsi des travaux de sa boutique emblématique de la Madelaine pour commander à un jeune peintre prometteur, David Malek,un habit d’avant-garde baptisé Yellow Chevron Bâche : Une fresque magistrale et exclusive réalisée par l’une des figures montantes de l’abstraction américaine.
A l’automne dernier, David Malek exécute pour la boutique éphémère de Cerruti une fresque murale lumineuse.
Séduit par cette première commande, le Président de la maison, Florent Perrichon, décide aujourd’hui de poursuivre cette collaboration :
“Nous avons découvert David Malek grâce à Laurence Dreyfus. Ce fut un vrai coup de coeur. Son optimisme, sa curiosité et l’originalité de sa démarche nous ont beaucoup plu. Nous n’avons donc pas hésité à lui confier cet ambitieux projet : imaginer une peinture gigantesque donnant naissance à une bâche qui habillera notre boutique en travaux. Pour David, le challenge est double : il lui faut passer de la pratique d’atelier à la dimension de fresque architecturale, mais aussi concevoir une oeuvre capable de s’inscrire dans la philosophie de la maison.”
Cette création assez troublante, joue de l’effet d’optique pour envouter le badaud.
En attirant irrémédiablement son regard au centre de la toile.
Au retour des soldes, faites un détour par Madelaine pour me faire part de votre avis ! :)
Pour découvrir plus sur les travaux de l’artiste peintre David Malek, cliquez ici !