C’est l’histoire d’une valise

On a toutes une petite histoire avec sa valise. La mienne a commencé en 2008. Je m’en souviens très bien. J’avais concocté secrètement depuis des semaines mon 1er voyage surprise pour fêter l’anniversaire de mon bien aimé. Un truc de dingue. La pression de garder le secret, la pression de vouloir bien faire, la pression de dévoiler. C’était un week-end surprise à Berlin. Sauf que quelques jours avant le départ, je me suis dit qu’il était grand temps de se doter de sa propre valise. Le prétexte était donc idéal pour franchir le pas. Parce qu’on n’achète pas une valise comme un rouge à lèvres. Déjà parce que ça prends de la place. Et puis parce que ça coûte bonbons.

Puis s’ensuivent mille questions. Valise cabine ou valise soute, plutôt rigide ou plutôt souple. Celle qui fait avion quand tu sautes dessus les bras ouverts ou celle qu’on peut transformer en sac à main ? Hé ho on peut rigoler un peu. J’avais besoin d’une valise po-ly-va-lente (cabine le plus souvent pour les weekends mais aussi en soute pour de plus longs voyages) et colorée (plus facilement identifiable). J’ai ainsi craqué pour une chinoiserie, j’avoue. Elle correspondait en tous points à ce que je voulais. Verte pomme acidulée, format cabine mais extensible façon portefeuille pour filer en soute au besoin.

5 ans plus tard, elle a cumulé autant de miles que de signes de fatigue. Elle tremblotte un peu, c’est vrai. Mais elle est toujours fringuante dans mon coeur. Sur le tapis du défilé des valises, c’est toujours la plus belle. Elle a vu du pays, la petite. L’europe, les canaries, les caraibes, les états-unis. C’est notre histoire à toutes les deux. Mais comme toutes les belles histoires je sais que la fin est proche. Surtout depuis qu’elle connait la délicatesse des voyages en soute. Marquées de traces noires, ses roues qui tournent de l’œil. Je ne veux pas qu’elle me lâche en si bon chemin. Mais je dois me rendre à l’évidence. Et commencer à rechercher une nouvelle amie…

L’année dernière pour l’anniversaire de monsieur (once upon a time) je lui avais offert une valise Delsey Karat format soute dont je vous parlais ici (j’avoue lui avoir « emprunté » quelques fois). J’ai choisi ce modèle parce qu’il n’avait pas de valise format soute, qu’il aime le design et que son dada c’est la 3D. Je me suis dit que c’était le cadeau parfait. Et j’ai tapé dans le mille! Depuis pour ses déplacement pro à l’étranger, il a la méga classe. Retrospectivement, plus jeune, je ne me posais même pas la question du sac de voyage. A chaque fois qu’on partait en Egypte j’avais toujours ma petite place dans la valise familiale. Plus tard, je n’ai jamais eu l’opportunité et l’envie de voyager seule. Mais depuis que je suis en couple, j’adore multiplier les voyages, les aventures urbaines et exotiques. A deux c’est mieux, vous ne trouvez pas ? Avez vous une petite histoire avec votre valise ? Quand avez vous eu le déclic ?

Hep Hep Hep Demain je vous présente le tout nouveau modèle de valises ultra légères et colorées, issues de la gamme Helium, imaginée par Delsey pour des filles dans le vent, tout à fait nous (-> les copains vous ne serez pas en reste ce modèle du futur ultra léger existe dans des coloris moins girly):)